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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 08:45
Lire l'articleGéant !
Jingjing et Chacha, les deux «cyber-policiers» affichés par certains sites chinois. (AP) 

J'y vois trouble, c'est l'opium ? Non, c'est la pollution !!!



http://www.chine-informations.com/beijing2008/

ONE WORD, ONE DREAM ...! Nous dit la Chine, mais lequel ?

Avec un coût total de 26 milliards d'euros pour deux semainesde compétitions sportives, la Chine fait exploser les records.

Dans l'immense Chine où tout est affaire de nombre, de masse, de mobilisation, les Jeux olympiques de Pékin se devaient de faire aussi monter les chiffres sur le podium. De fait, ils donnent le vertige : plus de 100 000 militaires et policiers déployés à Pékin, 70 000 volontaires olympiques pour assister athlètes et spectateurs, 300 000 autres volontaires sillonnant les rues de la capitale pour veiller à la sécurité, 70 millions de fleurs pour de majestueuses compositions à la gloire des JO et de la Chine… Et surtout, avec un coût total estimé à près de 26 milliards d'euros, Pékin fait exploser tous les records. À titre de comparaison, les Jeux d'Athènes de 2004 avaient coûté quelque 9,6 milliards d'euros à la Grèce.

La somme, pour deux semaines de compétitions, paraît à l'évidence d'une folle démesure. Mais à Pékin plus que lors de tous les JO précédents, une immense part des investissements vise à profiter de l'événement sportif pour rattraper un retard dans le développement. La capitale chinoise, en effet, souffrait d'un complexe par rapport à l'insolente métropole économique qu'est Shanghaï. Elle entend s'appuyer sur cet été 2008 pour faire un grand bond en avant. Le premier ministre chinois Wen Jiabao a ainsi affirmé hier que Pékin profiterait sur le long terme des bénéfices des JO. «Nous n'allons pas seulement accueillir des Jeux uniques et de qualité, a-t-il assuré lors d'une visite au stade de basket dans l'ouest de la capitale, mais nous avons bâti une cité plus belle, plus verte et plus civilisée, et ce d'une manière durable.»

 

Juguler la pollution

 

Le «coût opérationnel» de l'événement sportif lui-même ne serait «que» de 1,2 milliard d'eu­ros. La grosse part des dépenses concerne les infrastructures, les estimations tournant autour de 17 milliards d'euros, affectés surtout au secteur des transports. Le nouveau terminal de l'aéroport de Pékin, dont la surface fait cinq fois celle de Heathrow, aurait à lui seul coûté 1,9 milliard d'euros. La facture des trois nouvelles lignes de métro tourne aussi autour de 2 milliards d'euros. Des dizaines de millions d'euros ont aussi servi à élargir, embellir certains axes routiers desservant les sites olympiques ou destinés à être empruntés par les flots de touristes. Un aménagement qui a un coût humain, des dizaines de milliers de riverains ayant été forcés de déménager, en recevant souvent des sommes modestes en compensation. Autre gros poste de dépenses pour Pékin 2008, l'environnement. Plus de 6,4 milliards d'euros auraient été affectés aux diverses mesures prises pour juguler la pollution étranglant la capitale et menaçant certaines épreuves des JO.

 

Inquiétude du CIO

 

Cette inflation du coût des Jeux est un sujet d'inquiétude pour le CIO (Comité olympique international). Si cette course à la démesure continue, seule une poignée de villes dans le monde pourra se permettre d'héberger une fête olympique. Lors de l'attribution des Jeux à Pékin en 2001, le président du CIO, Jacques Rogge, avait d'ailleurs avoué «réaliser que la taille des Jeux devenait un peu trop importante et que l'on atteignait les limites de ce qu'une ville peut offrir». Et en 2004, le CIO avait incité Pékin à revoir à la baisse l'échelle de certaines de ses installations olympiques. On attend de voir ce que Londres a prévu de débourser pour les Jeux de 2012, une tendance à la hausse des prévisions commençant déjà à susciter la polémique.

Mais au-delà de ces moyens considérables mis sur la table sportive à Pékin, c'est la capacité chinoise à s'affranchir des con­traintes économiques habituelles qui est fascinante. Qu'il s'agisse des fermetures d'usines par dizaines pour tenter d'assainir l'air ou des restrictions des visas d'affaires afin de maîtriser l'environnement sécuritaire des Jeux, toutes ces mesures ont un coût financier évident. Peu importe. Pour Pékin, l'essentiel est de réussir les Jeux, coûte que coûte. Dès la clôture de la fête olympique, le moteur chinois pourra repartir à plein régime.

» 24 heures devant une chaîne de télévision chinoise

» EDITORIAL - Chine et Occident, les yeux dans les yeux

http://www.journaldunet.com/economie/immobilier/reportage/les-plus-grands-chantiers-chinois/le-siege-de-la-television-chinoise-embleme-du-pays.shtml

http://www.lefigaro.fr/international/2008/08/05/01003-20080805ARTFIG00001-avec-la-secte-de-mentu-aux-confins-du-desert-de-gobi-.php

http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/31/01003-20080731ARTFIG00241-la-chine-verrouille-ses-jeux-.php

http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/30/01003-20080730ARTFIG00253-jo-les-medias-vont-gouter-au-web-allege-a-la-chinoise-.php
La Chine revient sur sa promesse de ne pas censurer l'internet durant les JO

Journalistes étrangers le 30 juillet 2008 dans une salle de presse du centre olympique à Pékin
© 2008 AFP (Teh Eng Koon)
Journalistes étrangers le 30 juillet 2008 dans une salle de presse du centre olympique à Pékin

Comme les 253 millions d'internautes chinois, les journalistes étrangers, accrédités pour les JO de Pékin, n'auront qu'une version censurée de l'internet, contrairement aux promesses des autorités.

Cette décision, confirmée mercredi à seulement dix jours de l'événement (8-24 août), a déclenché une polémique.

Journalistes et responsables olympiques se sont indignés que l'engagement d'assouplir le contrôle de la Toile pendant les Jeux ne soit pas tenu.

Les pages et sites concernant le mouvement spirituel Falungong, interdit en Chine, et d'autres sites non précisés, resteront verrouillés pour les plus de 5.000 journalistes travaillant au principal centre de presse des JO à Pékin (MPC, Main press center), a indiqué à l'AFP le porte-parole du comité d'organisation, Sun Weide.

Depuis le MPC, l'AFP a pu constater l'impossibilité d'accéder à des sites dissidents, pro-tibétains ou ceux d'organisation de défense des droits de l'homme, comme Amnesty International ou Reporters sans frontières.

Lors d'un entretien exclusif avec l'AFP il y a deux semaines, le président du CIO Jacques Rogge s'était pourtant félicité de la liberté accordée à la presse étrangère.

"Pour la première fois, les médias étrangers pourront faire des reportages librement, les transmettre librement en Chine. Il n'y aura pas de censure sur internet", avait-il assuré.

Mais Sun Weide a douché ces espoirs en affirmant mercredi que la promesse des autorités était seulement d'autoriser "suffisamment" d'accès à internet pour travailler, mais pas un accès illimité.

"Notre promesse était que les journalistes pourraient se servir d'internet pour leur travail pendant les jeux Olympiques. Et nous leur avons donné suffisamment d'accès pour cela", a-t-il insisté.

Une restriction dénoncée par les représentants des journalistes étrangers basés à Pékin.

"Les journalistes devraient avoir autant d'accès à l'internet que lors des JO précédents", a estimé Jonathan Watts, président de l'Association de la presse étrangère à Pékin (FCC).

Le responsable de la presse du Comité international olympique (CIO), Kevan Gosper, a indiqué qu'il soulèverait la question auprès des autorités chinoises. "Je vais leur en parler et voir leur réaction", a-t-il expliqué.

De son côté, le président du Comité olympique australien John Coates, également membre du CIO, s'est montré contrarié, estimant que la Chine faisait marche arrière sur une promesse olympique "clef".

"C'est clairement décevant, je pense que cette question sera prise très au sérieux par le CIO", a-t-il indiqué à l'occasion d'une conférence de presse organisée précisément dans l'enceinte du MPC.

Mais il s'est montré sceptique sur le pouvoir de l'organisation olympique de faire revenir les autorités chinoises sur leur décision.

"Ce que (les responsables du CIO) pourront faire, je n'en sais rien", a-t-il déclaré.

Mardi, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères avait déjà précisé que les sites liés au Falungong seraient inaccessibles depuis le MPC.

En Chine, malgré la censure politique, l'internet s'est considérablement développé, avec désormais quelque 253 millions d'internautes, selon les derniers chiffres. Ce qui place désormais le géant asiatique au premier rang en nombre d'internautes devant les Etats-Unis.

Et, à l'occasion des Jeux de Pékin, les nouveaux médias, comme l'internet et les téléphones mobiles, feront leur entrée sur le marché. Pour cette édition des JO, 187 pays ont ainsi acquis les droits nouveaux médias contre moins de 10 à Athènes. 
ne reviendra pas sur sa décision de censurer l'internet lors des JO

 

 

Journalistes étrangers le 30 juillet 2008 dans une salle de presse du centre olympique à Pékin
© 2008 AFP (Teh Eng Koon)
Journalistes étrangers le 30 juillet 2008 dans une salle de presse du centre olympique à Pékin

La Chine a indiqué jeudi qu'elle ne reviendrait pas sur sa décision de censurer l'internet durant les jeux Olympiques, soulignant que les sites concernés enfreignaient les lois chinoises.

La Chine censurera l'accès à internet des journalistes étrangers pendant les JO, contrairement à ses promesses. Durée: 1mn32
© 2008 AFP
La Chine censurera l'accès à internet des journalistes étrangers pendant les JO, contrairement à ses promesses. Durée: 1mn32

"Seuls quelques sites sont bloqués principalement parce qu'ils enfreignent les lois chinoises", a déclaré un porte-parole du comité d'organisation des jeux Olympiques, Sun Weide.

"Nous espérons que les médias étrangers pourront respecter les lois et règlements de la Chine", a-t-il ajouté.

Comme les 253 millions d'internautes chinois, les journalistes étrangers accrédités pour les JO de Pékin n'auront qu'une version censurée de l'internet, contrairement aux promesses des autorités.

Cette décision, confirmée à seulement dix jours de l'événement (8-24 août), a déclenché mercredi une polémique.

Journalistes et responsables olympiques se sont indignés que l'engagement d'assouplir le contrôle de la Toile pendant les Jeux ne soit pas tenu.

Les pages et sites concernant le mouvement spirituel Falungong, interdit en Chine, et d'autres sites non précisés, resteront verrouillés pour les plus de 5.000 journalistes travaillant au principal centre de presse des JO à Pékin (MPC, Main press center), a indiqué à l'AFP le porte-parole du comité d'organisation, Sun Weide.

Depuis le MPC, l'AFP a pu constater l'impossibilité d'accéder à des sites dissidents, pro-tibétains ou ceux d'organisation de défense des droits de l'Homme, comme Amnesty International ou Reporters sans frontières.

Lors d'un entretien exclusif avec l'AFP il y a deux semaines, le président du CIO Jacques Rogge ( il avait dû fumer l'opium chinois !) s'était pourtant félicité de la liberté accordé à la presse étrangère.

"Pour la première fois, les médias étrangers pourront faire des reportages librement, les transmettre librement en Chine. Il n'y aura pas


http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/30/01003-20080730ARTFIG00001-pour-beaucoup-de-pekinois-la-fete-olympique-a-un-gout-amer-.php


Hu Jintao veut des JO non politisés et une couverture média "objective"
© 2008 AFP | 01 Août 2008 | 07h47
Le président chinois Hu Jintao le 1er août 2008 à Pékin lors de sa rencontre avec la presse étrangère
Mark Ralston AFP

A une semaine de l'ouverture des jeux Olympiques de Pékin, le président chinois Hu Jintao a demandé vendredi aux étrangers de ne pas politiser l'événement et aux médias de travailler dans la légalité et l'objectivité.

Dans un entretien avec la presse étrangère, il a affirmé que "politiser les jeux Olympiques" n'était pas une réponse à la divergence de points de vues "inévitable" entre "les peuples de différents pays et régions du monde".

Sans compter que ce serait "contraire à l'esprit olympique ainsi qu'aux aspirations partagées partout dans le monde", a-t-il plaidé.

Le président a ainsi réaffirmé la position prônée régulièrement par la Chine depuis le printemps, quand le pays a été confronté à une série de manifestations partout dans le monde, notamment autour du parcours de la flamme olympique, pour critiquer sa politique au Tibet.

Pour l'universitaire australien Jonathan Unger, "c'est la Chine qui a politisé ces Jeux, en renforçant ses contrôles sur la presse, en arrêtant des dissidents et en déployant un arsenal bureaucratique excessif pour faire en sorte que la situation soit stable".

"C'est ironique de voir le président Hu renverser la chose, en disant que ce sont les étrangers qui essayent de politiser les Jeux", ajoute le spécialiste de la Chine interrogé par l'AFP.

En pleine polémique sur la censure de l'internet imposée aux journalistes accrédités aux JO, M. Hu a par ailleurs appelé les médias à se conformer au droit chinois et à réaliser des reportages "objectifs".

"Nous continuerons à fournir des moyens pour que les journalistes étrangers puissent travailler", a indiqué le président chinois.

"Bien sûr, nous espérons aussi que la presse étrangère se conformera aux lois et règlements chinois. Nous espérons qu'elle fournira des informations objectives sur ce qui se passera ici", a ajouté M. Hu.

Les questions posées lors de cet entretien, prévu depuis plus de deux semaines, avaient du être soumises à l'avance pour approbation. A la fin de la rencontre, un journaliste allemand a demandé s'il pouvait poser une question sur les droits de l'Homme, mais le président n'a pas réagi.

Selon Nicholas Bequelin, de l'organisation Human Rights Watch, quand M. Hu dit espérer une couverture "objective", "il faut entendre conforme à la ligne du parti" communiste, au pouvoir en Chine.

"Ce qu'il demande, implicitement, c'est que la presse étrangère s'abstienne d'écrire des articles que le gouvernement juge critiques", ajoute-t-il.

Les autorités chinoises avaient réaffirmé jeudi qu'il n'était pas question de revenir sur leur contrôle de l'internet pendant les JO. Mais vendredi matin, au principal centre de presse des JO de Pékin, un journaliste de l'AFP a pu constater que la censure contre plusieurs sites web avait été levée.

Les sites d'Amnesty International ou de Reporters sans frontières étaient accessibles tandis que ceux de la BBC en chinois, de dissidents ou de pro-tibétains ne pouvaient être consultés.

Le porte-parole du comité d'organisation des JO, Sun Weide, a promis une nouvelle fois un accès "suffisant et acceptable" à la presse accréditée, mais n'a pas précisé si d'autres sites seraient rendus accessibles.

Dans un communiqué, le CIO dit avoir appelé le comité d'organisation et les autorités chinoises à assouplir cette censure de l'internet: "La question a été placée sur la table et le CIO a demandé que l'hôte des JO y réponde".

Source La Dépeche

Petite reculade face à l'opinion mondiale, Pékin lève partiellement le blocage internet :

http://actualite.aol.fr/jo-2008-pekin-leve-partiellement-la/article/20080801015349165911348


Mistification :

http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Internationale/Asie/Un-nouveau-trucage-de-la-ceremonie-des-JO/(gid)/157229
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commentaires

D
Bonjour, Je tente de créer une communauté dédiée au débat autour des Jeux<br /> Olympiques de Pékin. Votre contribution serait la bienvenue. Si vous<br /> vous sentez concerné, n'hésitez pas à nous rejoindre. http://www.over-blog.com/com-1055858682/Jeux_Olympiques_de_Pekin.html
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D
Il se fait trainer d'hotels de luxe en restaurants chinois avec salles de massages et fumeries d'opium, on appelle cela des "chinoiseries"...! Pour le reste, ou il est dépassé ou il a tellement été gavé, qu'il ferme les yeux et se bouche les oreilles ! Ah les tribulations d'un "occidental" en Chine, il nous faudrait un Jules Verne de notre époque pour narrer ce qui va arriver en Chine pour les JO !
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P
Et il est où? Et il est où? Et il est où? le CIO lala la lala
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